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Du 14 au 28 novembre 2022
Le petit musée de la couture
exposition autour du spectacle Couture(s) de la compagnie En cours de route
Le petit musée de la couture est un espace dans lequel les spectateurices peuvent patienter avant la représentation ou prolonger ce moment une fois le spectacle terminé. Cet espace est constitué d'objets de la couture revisités. Ces objets sont comme autant de traces du passage de la Compagnie En cours de route dans les écoles, collèges, clubs de couture, maisons de retraite. Vous pourrez écouter les sons qui émanent des pelotes de parole, réfléchir aux questions brodées des collégiens et collégiennes, admirer un Mola Colombien ou encore activer une machine à coudre qui déroule des photos...
du 28 février au 19 mars 2022
2050
exposition photographique
Retour dans le futur
Nous accueillons, en partenariat avec le Crous Toulouse, les oeuvres des lauréats 2021 du concours photo de la création étudiante.
Les photographes sélectionnés vous proposent leurs visions de l’année 2050, thème du concours 2020-2021.
A découvrir dans la partie accueil du Théâtre du lundi au samedi de 10h à 18h.
L'exposition de mars 2019
Regards croisés de Eric Vanelle - du 4 mars au 1er avril
L’idée de cette exposition est de proposer à des photographes un mot et 24h pour l’illustrer. Puis un autre mot et à nouveau 24h. Toutes les photos sont prises au téléphone, au cours d’une journée ordinaire. Une dizaine de ces regards croisés seront présentés.
Les expositions de février 2019
Laure Vieusse - du 11 février au 4 mars
Laure Vieusse expose en France et à l’étranger depuis 1997. Dans les toiles et dessins à l’encre de Chine à la plume Sergent Major, les corps se mêlent, se soutiennent. Les rapports humains sont mis en scène dans leur diversité, leur complexité : émotions, moments de vie, le rapport aux autres, à soi. L’énergie transmise par la danse des êtres mis à nu délivre un message d’espoir.
Us et coutumes en sauvagerie de Nathalie Hauwelle - du 28 janvier au 11 février
Passionnée d’ethnographie sauvage, Agnes Oznowska présente ses ultimes recherches en broderie simplifiée et ses prochains travaux lumino-phosphorescents. Ce musée portatif sera accompagné d’une conférence ludique du 5 au 9 février à 19h rappelant les rites millénaires de notre société et présentant les grottes de Lascaux du futur.
L'exposition de janvier 2019
Cartoon Show de Julien Zanesi - du 31 décembre au 28 janvier
Julien Zanesi est membre de l’atelier de BD La Mine et du Drink and Draw de Toulouse. Après une école d’animation à Angoulême, il part travailler à Paris pour différents studios d’animation. Depuis 2013, il vit à Toulouse et travaille à distance pour Angoulême, Paris et Bristol en tant que storyboarder et concept designer (décors, objets, personnages).
L'exposition de décembre 2018
Animalis Curiositas de Kput - du 3 au 31 décembre
Navigant depuis plus de 20 ans dans la culture hiphop, Kput a abordé la peinture par le graffiti puis s’oriente peu à peu vers le figuratif. Son travail d’atelier autour de la récup’ prend de l’essor et il peaufine son style décalé « curieusement baroque-barré ». Il crée avec ce qu’il trouve mais aussi avec ce que la nature lui offre et joue des règles et des codes.
L'exposition de novembre 2018
Dans le cadre des 15 ans du Théâtre du Grand Rond
Anne Isambert - du 30 octobre au 27 novembre
Anne Isambert fonde l’atelier de sérigraphie 54 fils au cm en 2013. Ce qu’elle donne à voir dans les images qu’elle fabrique mêle réflexion et imaginaire. Cela débute avec des dessins-pense-bêtes et des notes graphiques, qu’elle reprend et construit au fil du temps. Se prêtant bien à la superposition, l’impression par sérigraphie permet de tracer ce cheminement.
Les expositions d'octobre 2018
Songes anthracites de Sophia Bébin - du 22 au 29 octobre
Née en Russie en 1977 dans une famille d’artistes, Sophia grandit dans une ambiance d’atelier. Héritière des arts traditionnels de son pays, ainsi que de la période soviétique à part dans la culture russe, elle aborde avec poésie et onirisme l’illustration du texte de la pièce Nuits blanches de Gueules noires. Sa discipline de prédilection, la linogravure, par ses tendances brutes et contrastées, s’impose pour évoquer l’univers minier.
#Metoo Kesako ? de Mathilde François - du 8 au 22 octobre
En partenariat avec la Semaine de l'étudiant
Un an après l’affaire Weinstein et le mouvement #Metoo qui a suivi, à la façon de Emma Clit (auteure de la fameuse BD sur la charge mentale), Mathilde François revient sur ce phénomène mondial et ses répercussions en bande dessinée et avec humour. Voilà une onde de choc qui n’a pas fini de nous impacter !
Les expositions de septembre 2018
Couleurs d’enfance de Monique Mazarguil - du 24 septembre au 8 octobre
Tout commence sur l’idée des mois, des saisons qui défilent et des enfants qui grandissent. Cette série de portraits reflètent l’enfance, les sœurs et la vie de femme des filles de l’artiste. Ces douze toiles, ces douze mois de l’année, sont des moments de grâce et de légèreté, portés par des héroïnes uniques.
Amical bestiaire de Marine Giacomi - du 3 au 24 septembre
Philippe est un renard qui a du flair pour le café. Claire est une femme poisson-coffre qui danse la sévillane. Olivier est un vrai lionceau de mer. Dans cette série de gravures à l’eau forte et chine collé, l’illustratrice Marine Giacomi dresse des portraits animalisés de ses proches. Sous forme de petits formats encadrés, elle vous invite à découvrir son album de famille.
L'exposition de l'été 2018
Mano Facto s'encadre - du 2 juillet au 3 septembre
Mano Facto est une boutique associative riche d’une vingtaine d’artisans-créateur·trice·s située dans le quartier St Aubin. Ses mots d’ordres : original, fait main, local et éthique. D’un oiseau empaillé, orné d’atours glanés par Kput, au zèbre enfantin sortant la tête de son buisson cousu par Maya en passant par l’entrecroisement géométrique sans fin d’un fil blanc de CanDid, ses différents artisans ont composé avec leur matière première un tableau de leur univers.
L'exposition du mois de juin 2018
Porteur·euse·s de parole par le Mouvement HF Midi-Pyrénées - du 28 mai au 2 juillet
Le Mouvement HF questionne et milite pour l’amélioration de la représentativité des femmes dans les arts et la culture. Pour cela l’association utilise plusieurs moyens et notamment ce dispositif emprunté à l’éducation populaire : les porteur·se·s de parole.
Les membres d’HF posent une question - qui ouvre le débat - aux passant·e·s toulousain·e·s dans la rue et échangent avec chacun·e de celles et ceux qui le souhaitaient ou qui se laissaient surprendre... «
Barbie est elle féministe ? », « C’est quoi un film de filles ? », « L’égalité femme-homme, c’est négociable ? ». Des questions qui ont choqué, amusé, interpellé, fait parler ! À travers cette expo, le Mouvement HF vous livre des brèves de passant·e·s, qui se marrent, s’insurgent, réfléchissent et nous éclairent !
L'exposition du mois de mai 2018
Les Hautes-Pyrénées de Tanguy Chausson - du 30 avril au 28 mai
En partenariat avec le Festival Ravensare
Tanguy Chausson a toujours eu un rapport assez fort à la nature. « Que ce soit par saison, par heure ou par climats, un endroit de la nature aura toujours un tableau différent à contempler, en cela elle est la plus grande des artistes. ». Il partage dans cette exposition un panorama des Hautes-Pyrénées en passant de la montagne aux cascades.
Tanguy Chausson est proposé et soutenu par le Festival Ravensare qui fera cette année sa 17ème édition, du 29 juin au 1er juillet au Jardin Raymond VI à Toulouse. Vous pourrez y découvrir comme chaque année des danseur·se·s, des musicien·ne·s, des sculpteur·se·s, des photographes et des peintres.
L'exposition du mois d'avril 2018
Photos interdites de Fabrice Roque - du 2 au 30 avril
Arrêter le temps du spectacle vivant, figer cet instant sans cesse en mouvement, donner une image à voir d’un spectacle à revoir. Fabrice Roque a la chance de pouvoir faire des photos où, généralement, elles sont interdites.
Il vous propose donc dans cette exposition quelques arrêts sur image de spectacles très vivants vus ces trois dernières années...
L'exposition du mois d'avril 2018
Photos interdites de Fabrice Roque - du 2 au 30 avril
Arrêter le temps du spectacle vivant, figer cet instant sans cesse en mouvement, donner une image à voir d’un spectacle à revoir. Fabrice Roque a la chance de pouvoir faire des photos où, généralement, elles sont interdites.
Il vous propose donc dans cette exposition quelques arrêts sur image de spectacles très vivants vus ces trois dernières années...
L'exposition du mois de mars 2018
Les Chiffonnées de Kantuta Varlet et Sarah Malan - du 5 mars au 2 avril
Kantuta Varlet, costumière, et Sarah Malan, peintre, ont crée le duo « Les chiffonnées ». Elles proposent pour cette exposition, une installation de boîtes lumineuses.
Dans ces boîtes, des images, des mises en scène, des histoires…
Chacun·e y est invité·e à toucher, ouvrir ou scruter par l’œil de juda pour découvrir des mondes imaginaires dentelés, ciselés, tirés à quatres épingles ou coupés au couteau.
L'exposition du mois de février 2018
Bernadette & Co de Eric Lagarde - du 29 janvier au 5 mars
Bernadette Soubirous, entre février et juillet 1858, aura 18 apparitions mariales à la grotte de Massabielle.
Par l’affluence de pèlerin·e·s, curieux·ses et journalistes, sa situation devient de moins en moins tenable. Trop sollicitée, elle décide d’une vie religieuse chez « Les Sœurs de la Charité » à Nevers, où elle décède en 1879.
Bernadette & Co est le pendant mercantile de cette histoire.
Lourdes est la deuxième ville hôtelière de France, elle accueille chaque année 6 millions de pèlerin·e·s, dont 60 000 invalides.
L'exposition du mois de janvier 2018
Iron Fish de Jean Louis Galy - du 2 au 29 janvier
En 2015, au cours d’une exploration sous-marine en apnée en méditerranée, au détour d’un tombant, Jean Louis Galy observe posé sur le sable un tas de ferraille à côté d’une épave de bateau.
C’est en fouillant cet amas de ferraille rouillée qu’apparut la silhouette d’un poisson. Après de multiples plongées, le ramassage de la ferraille lui permit de recycler le fer rouillé et de transformer la matière.
C’est ainsi qu’Iron Fish est né.
L'exposition du mois de décembre 2017
Naturalisme Extraodinaire de Alan aka Blasté - du 27 novembre au 31 décembre
Après les créatures des mondes marins, Alan aka Blasté s’intéresse cette fois à la végétation maritime et laisse vagabonder son imagination à travers les forêts et les jardins du littoral. Il se plonge alors dans la collecte de plantes cueillies puis séchées qui vont inspirer et influencer de nouvelles productions graphiques.
L'exposition du mois de novembre 2017
Anne Isambert - du 30 octobre au 27 novembre
Anne Isambert fonde l’atelier de sérigraphie 54 fils au cm en 2013. Ce qu’elle donne à voir dans les images qu’elle fabrique mêle réflexion et imaginaire. Cela débute avec des dessins-pense-bêtes et des notes graphiques, qu’elle reprend et construit au fil du temps. Se prêtant bien à la superposition, l’impression par sérigraphie permet de tracer ce cheminement.
Les expositions du mois d'octobre 2017
Argentique - 17 d'Eric Vanelle - du 2 au 16 puis du 23 au 30 octobre
Ca fait quoi de ne pas pouvoir prendre 20 photos en 2 minutes.
Ca fait quoi de rater une photo parce que la pellicule est finie.
Ca fait quoi de pas pouvoir zoomer.
Ca fait quoi de devoir choisir.
Ca fait quoi de partir en voyage avec 10 pellicules de ILFORD HP5+, un F80 et un 50mm en 2017.
Paquare de Salomé-Charlotte Camores - du 16 au 23 octobre
Dans le cadre de la Semaine de l'étudiant
Durant 1 semaine, c'est l'un des projets lauréats de l'appel à projets de la semaine de l'étudiant qui investit les murs du hall du théâtre !
Cette année, Salomé-Charlotte Camores présente « Paquare » : une série photographique sur fer brut poncé réalisée sur la côte caribéenne du Costa Rica à l'embouchure du fleuve Paquare au cours d'une mission de volontariat pour la protection des tortues marines et de leur ponte.
L'oeuvre, tout comme notre écosystème est vouée à disparaitre si elle ne bénéficie pas d'une attention particulière.
Cette série est particulièrement représentative de ma démarche artistique : on y retrouve une certaine dualité : Noir et Blanc, contraste entre les sujets (paysages) et matériau (fer), introspection et militantisme.
L'exposition du mois de septembre 2017
HEY ! de Cathy Combarnous - du 29 août au 2 octobre
« Notre monde perpétuellement chamboulé et fragilisé par la folie humaine, il m’est venu comme une évidence que ce dont nous avions le plus besoin en ces temps troublés, c’était de douceur. » Cathy qui aime faire des grimaces, observer les gens sans se faire attraper, manger du gingembre confit, prendre de l’altitude un baudrier à la taille, des chaussons d’escalade aux pieds... vous présentera une série d’illustrations petits formats à cajoler pour la rentrée !
Les expositions du mois de juin 2017
Valérie Mathieu - du 5 juin au 3 juillet
"Fragments de mémoires décomposées, recomposées..., réminiscences ou bien rêves éveillés, l'intemporel décline à l'infini ses gammes, l'imaginaire donne circonstance au réel ; d'exaltations en renoncements, de joies en nostalgies, la dualité de l'être recompose le temps, métamorphose l'apparence des choses et, dans les méandres de la destinée cherche une appartenance, la lueur d'un phare, peut-être un ancrage auquel s'arrimer..." Philippe Lemoine
Valérie Mathieu superpose, torture, détruit, filtre et déforme des photos, qu'elle mixe avec des éléments graphiques, de la couleur. Ses créations, essentiellement numériques, sont ensuite tirées sur alu brossé et révèlent des tonalités et des éléments changeants, en fonction de l'éclairage et de la place du spectateur. Un peu à l’image de notre mémoire qui met en relief tel ou tel événement de notre vie...
+ d'infos ici
Kantuta Varlet (Costumière de et avec la cie Marche ou Rêve) - Drôles de bobines - du 29 mai au 5 juin
Varlet Kantuta, après 20 ans de complicité avec la Cie Marche ou Rêve, nous donne à voir quelques extraits de réflexion d'une costumière, quelques jeux d'idées et de questionnements.
Le départ de la création d'un costume est toujours un regard posé sur des personnages dans un contexte. Avant de donner forme au tissu, le passage par le papier se propose. Voici des bribes de ce passage, sous la forme de boîtes lumineuses ou de dessins, maquettes de legereté et de plaisir lors
de quelques unes de ses aventures théatrales avec la Cie Marche ou Rêve.
L'exposition du mois de mai 2017
Noémie Boullier
Noémie Boullier travaille essentiellement la peinture à l'huile, en peignant des scènes qui prennent sens au fil de leur construction avec des personnages parfois teintés de mythologie, d'humour ou d'absurde.Elle présente ici une série de peintures faites spécialement pour l'occasion , avec pour fil conducteur le public et la scène sur fond d'abstraction !
L'exposition du mois d'avril 2017
Autos-portraits de paysages de Laurent Loubet
Sur la route du travail, photos prises depuis le véhicule en mouvement... Regard sur la vie en milieu rural.
" Nous vivons aujourd'hui.
Je fais partie de ces personnes qui quittent la ville pour se rapprocher de la nature. Se mettre au vert. Avoir une vie plus sensée, sortir de ce système qui nous fait courir, avancer, produire... payer, acheter, consommer.
Mais il a la peau dure ce système, nos habitudes aussi. Ce n'est pas tout de vouloir, le pas n'est pas si simple à faire, la marche est beaucoup plus haute qu'elle n'y paraît. Alors bien sûr les excuses ne manquent pas. Le boulot, les enfants les factures le manque de temps… le système... Tiens il a bon dos celui là. Si je ne m'abuse « le système » c'est moi, c'est toi, c'est nous... C'est à nous d’agir comme il nous semble bon et juste, pour nous et la communauté.
Le tableau est posé, le cadre est là.
Nous, les habitants de zones rurales, passons énormément de temps dans nos véhicules paradoxalement.
Nous sommes des prisonniers en mouvement, c'est un fait sociétal, enfermés dans nos vies, dans nos boulots, dans nos autos, dans nos crédits, dans nos envies, nos achats, nos vacances....
On regarde passer le paysage et la vie derrière le cadre de notre pare brise. La chose la plus stable c'est bien l’intérieur de notre bagnole. Enfermé dehors dans l’espèce d'aquarium où l'on se sent seul, tranquille ; libre, on peut crier, chanter, rigoler, pleurer, se curer le nez. Il y a un côté fœtus.
C'est moi qui évolue dans le paysage ou c'est le paysage qui bouge autour de moi? Au final je ne sais plus très bien.
Ce paysage peut autant m'apaiser, me tranquilliser que me mettre dans un stress terrible suivant la destination, la personne qui se trouve au bout de la route, le boulot qui y m'attend, l'emmerde que je dois gérer. Mais j'ai la chance de savoir regarder, d’être dans la contemplation, d'avoir toujours l’œil alerte et de percevoir ne serait ce qu'un instant, la beauté du paysage, la magie de la lumière à un endroit donné, l'envol d'un oiseau, la beauté du lieu que je traverse et qui en retour me traverse et m'envahit.
Je suis en pleine contemplation, oui, je le répète car ce n'est visiblement pas quelque chose de commun, je perçois mais comment donner à percevoir, ce que je vois, je ressens. C'est un exercice qui m'a été toujours très difficile et pour dire vrai, j'ai rapidement jeté l'éponge ; je n'ai pas - n'avais pas? - le talent des grands photographes paysagistes, la culture états-unienne pour les grands portraits paysagés ne m'a jamais vraiment fait vibrer... les Ansels Adams et compagnie..
Le paysage, c’est mon Everest à moi, mon sommet inaccessible. Comment transmettre tout ce que l'on ressent lorsque nous sommes dans l’état de contemplation souvent après une longue marche qui nous a hissés vers cet état ? Comment le montrer lorsque l'on redescend et que la magie reste là-haut et que notre quotidien redevient si présent, si pesant ? Je n'ai pas la réponse ; cette série photographique fait peut-être le lien entre contemplation et exaltation, elle est à mi-chemin entre le quotidien et la marche méditative. Bon, il faut que je redescende, me raccroche à la réalité... mais laquelle, celle que nous impose ce système ou celle que je crois juste, qui me fait vibrer au fond de moi ? "
L'exposition du mois de mars 2017
Raphaël Lo Bello
"Mon travail est comme un laboratoire d'expérimentations. Je débute ma peinture sans idée conçue, en improvisant à partir de ma rencontre avec les différentes matières.
Ce travail d'improvisation en peinture est en lien avec mon travail de danseur. La répétition d'une forme mène à sa déformation et sa singularité. Comme la répétition d'un mouvement mène à un autre mouvement. Quand je peins et quand je danse je suis, dans le temps et dans l'espace, à la recherche d'une tension entre équilibre et déséquilibre. J'imagine une respiration et des rythmes qui permettent aux formes et au couleurs d'entrer en mouvement et de circuler.
Je travaille la toile dans tout son espace pour donner la possibilité à ses moindres recoins de raconter quelque chose, d'ouvrir, pour chacun, les portes de l'imaginaire. Pour que le spectateur puisse créer sa propre histoire dans cette image proposée, comme une pensée brute et poétique."
L'exposition du mois de février 2017
La nuit, c'est ma couleur préférée de Nadia Nakhlé
En relation avec le spectacle Zaza Bizar, l'illustratrice et metteuse en scène Nadia Nakhlé expose ses illustrations au Théâtre du Grand Rond. Ces planches sont majoritairement des tirages de gravures réalisés sur cartes à gratter.
Le noir et blanc dominants, donnent à voir un instantané somptueux de l'univers poétique de cette jeune artiste.
L'exposition du mois de janvier 2017
Evolutionchrysalide de Martina Santuari
Evolutionchrysalide est Martina Santuari, née en 1984 en Italie et arrivée en 2011 dans la ville rose, un hiver (très très) froid. Son univers artistique se nourrit d’une bonne soupe kaléidoscopique : les fables de son enfance, quelques dragons, l’étrange beauté de la peinture symboliste et la poésie des bandes dessinées de Milo Manara et Sergio Toppi.
Elle aime créer des nouveaux mondes, fantastiques et utopiques, peuplés de créatures et personnages fabuleux et étranges. Univers colorés, qui rappellent l’enfance et ses contes, racontés du point de vue de l’adulte et, parfois, de ses idiosyncrasies.
L'exposition du mois de décembre 2016
Constellation de Florence Lab
Constellation est une série de sérigraphies et peintures qui s’articule autour du corps comme constellation de tâches, de traces, de cicatrices. Une cartographie. Un chemin à parcourir...
florencelabtoulous.wixsite.com/florencelab
L'exposition du mois de novembre 2016
Juliette Magnier
Artiste multidisciplinaire, comédienne, costumière et peintre, je tente avec mes peintures de questionner hors cadre : "Observons ce que nous ne voyons pas. Pour ce que le visible naît des silences".
Elle se laisse bercer par Gustave Klimt, Alphonse Mucha, Dali, Picasso, Frida Khalo.
www.juliette-magnier.book.fr
Les expositions du mois d'octobre 2016
Univers et créatures de Marie-Sara Cambe (du 10 au 31 octobre)
dans le cadre de la Semaine de l’Étudiant
Après avoir travaillé pendant trois ans sur le mélange de l’homme et de l’animal en réalisant des installations et des sculptures anthropomorphiques, Marie-Sara Cambe exprime son talent sur des disques vinyles.
Texto-graphie de Jules et Benoît Séverac (du 3 au 10 octobre)
dans le cadre du Festival Polars du Sud
Texto-graphie, ce sont des joutes auxquelles père et fils, photographe et écrivain, se livrent, des photos et des mots qu’ils se lancent comme des défis artistiques.
Chaque semaine, Jules propose à Benoît un panel de clichés. Benoît s’empare de l’un d’eux et propose un fragment d’histoire, un départ de fiction, comme une fulgurance pour la faire parler.
L'exposition du mois de septembre 2016
Promiscuité de Nathalie L.
L’inspiration de Natalie L vient de l’univers végétal. Elle concentre son énergie créative à explorer des thèmes comme les motifs abstraits de la nature et les techniques mixed media par des apports de texture et l’utilisation de supports non conventionnels.
L'exposition du mois d'août 2016
C'est Hélène Gib', peintre plasticienne qui expose tout le mois d'aôut au Grand Rond !
Plus d'infos sur son site : http://www.nextgalerie.com/index.php/gib-helene
et ici aussi :
www.portraitdestyle.com
www.facebook.com/HgibPaint
L'exposition du mois de juillet 2016
C'est Marie Olé, notre illustratrice qui expose tout ce mois de juillet !
Venez découvrir ces illustrations décalées, fraîches et rigolotes !
http://marieole.ultra-book.com/accueil
L'exposition du mois de juin 2016
Fouler la terre
de Sarah Malan
sarahmalan.blogspot.fr
Les Os glacés
L'exposition du mois de mai 2016
Haciendo tiempo – Prendre (faire) le temps
de Robert Zarzycki
Roma © Robert Zarzycki
Prendre le temps :
Être en résistance à la rapidité du monde actuel
Être en lutte contre l’impatience
La technique utilisée pour l’impression de ces photographies est le Gumoil Printing, un procédé artisanal qui a été découvert à la fin du 19ème siècle et qui repose essentiellement sur l’usage de quatre éléments : la gomme arabique, le bichromate de potassium, la peinture à l’huile et le temps.
Le Gumoil Printing nécessite en effet de s’armer de patience avant d’arriver à un résultat final. C’est une démarche prenante pour moi car elle associe l’instantanéité de l’acte photographique à la lenteur du processus d’impression.
Enfin, en exagérant un peu, à l’heure où le tactile règne, nos doigts en sont presque réduits à ne ressentir que la froideur des écrans ; quant à nos yeux, finiront-ils par ne voir que des images lissées ? Aussi, au-delà du rapport au temps que pose le Gumoil Printing, passer par ce procédé répond à une volonté de retrouver la matière, de la travailler et de la sentir.
Avec ce travail, j’aimerais faire partager le goût de la patience et du plaisir ressentis au fil des différentes étapes d’impression ainsi que la tranquillité éprouvée à la vue du résultat final.
Cette exposition comprend deux séries : La ventana et El muro.
Ces photographies ont été prises en différents lieux et pays.
L'exposition du mois d'avril 2016
Anne Isambert
Anne Isambert est sérigraphe à l'atelier 54 fils au cm à Toulouse. Elle utilise la sérigraphie comme outil plastique et joue avec les superpositions et les surimpressions d'images.
Elle a construit certaines de ces sérigraphies pour l'espace du Théâtre du Grand Rond après avoir lu certains textes joués ce mois d'avril.
L'exposition du mois de mars 2016
Molo Molo
Pour aller plus loin
L'exposition du mois de février 2016
Nathalie Straseele
« …Tel un archéologue, Nathalie Straseele explore l’humain, sa dimension, sa vérité. Son travail est un exercice empreint de recherche et de spiritualité, que seul son instinct peut dicter en toute harmonie.
Mêlant couleurs chaudes ou froides, sa palette s’identifie à la psychologie de ses personnages, dont l’aspect parfois inachevé – tout en nous laissant pantois - nous incite à la réflexion quant à l’avenir de notre humanité, ses aspirations et son espérance… »
Dans la Gazette des Arts « L’univers symbolique de Nathalie Straseele », par Chantal Guionnet, octobre 2014.
L'exposition du mois de janvier 2016
Les Tartonnes
Personnages imaginaires... simples et nus... un regard... des émotions... souvent naïfs, mais pas innocents.
« Pierres de foudre ou bien pierres de lune, leurs regards appellent tel le son de l'enclume, migrants de si haut puis vivant ici bas, à travers galaxies ils semèrent leurs pas, contemplez ces âmes pour comprendre tantôt, l'appel de l'ineffable transcendant vos os, en dehors du temps du souci et des hommes, ce sont eux les purs les radieux, les Tartonnes. » Sertanejo.
Un peu de moi, un peu de vous...
Raphaële
L'exposition du mois de décembre 2015
Raphaël Gracien
" L'idée de détourner le logo handicapé a commencé en 2012 en partant du principe que les personnes en fauteuil roulant n'étaient pas des véhicules. À partir de là je me suis amusé à parodier les panneaux routiers en remplaçant les véhicules par des fauteuils roulants pour rappeler que les personnes à mobilité réduite étaient des personnes avant tout. Et c'est en Mars 2013, pour élargir le constat, que je me lance dans le détournement du fameux logo handicapé.
Le concept du collage est de placer ce pictogramme handicapé dans le quotidien. Je voudrais donner vie à ce symbole et le banaliser pour expliquer qu'il y a des vies derrière tout ça, des goûts, des envies, des passions, des métiers...
En piochant des éléments au hasard de mes consommations et de mes goûts, je raconte un peu ma vie mais aussi La vie de tout un chacun !
Le résultat c'est que handicapé ou non, on fait les mêmes choses ;)
On a besoin de se rappeler que l'être humain est un ensemble complexe fait de multitude de détails. "
Raphaël Gracien, tétraplégique depuis 1995 suite à un plongeon en rivière, graphiste amateur.
Pour aller plus loin c'est ici et par là
L'exposition du mois de novembre 2015
Les Ballons Rouges
L'exposition photos que vous présente l'association Les Ballons Rouges est née de l’envie de faire découvrir la vie quotidienne des Burkinabè et de montrer son attachement au "pays des hommes intègres".
L'Association Les Ballons Rouges a été créée en 2008 et est reconnue d'intérêt général. Son action est essentiellement tournée vers les femmes et les enfants : Centre de nutrition pour les enfants en bas-âge, éducation, microcrédits, développement de projets économiques.
Cette exposition réunit des photographies prises lors de différents séjours des membres de l'association au Burkina Faso avec la sensibilité propre à chacun, d’où un regard subjectif. Elles traduisent les émotions ressenties devant différentes scènes de la rue et lors de rencontres avec les habitants.
Cette exposition photos est régulièrement présentée lors de ventes artisanales. Elle est aussi un des outils pédagogiques utilisé lors de nos interventions dans les écoles et centres de loisirs de Toulouse et de ses environs pour sensibiliser les enfants à la différence et à un autre mode de vie.
Nous espérons que cette visite vous aura permis de partager avec nous quelques moments privilégiés vécus au Burkina Faso.